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Saint-Chamond | |
Blason | Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Loire |
Arrondissement | Saint-Étienne |
Intercommunalité | Saint-Etienne Métropole |
Maire Mandat | Hervé Reynaud (LR) 2020-2026 |
Code postal | 42400 |
Code district | 42207 |
Démographie | |
Gentilé | Couramiauds ou Saint-Chamonais |
Population municipale | 34 841hab. (2019 ) |
Densité | 635hab./km2 |
Population agglomération | 374 318hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 28′ 39″ nord, 4° xxx′ 55″ est |
Distance | Min. 326thou Max. one 051m |
Superficie | 54,88km2 |
Type | District urbaine |
Unité urbaine | Saint-Étienne (banlieue) |
Aire d'allure | Saint-Étienne (district de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Chamond (bureau centralisateur) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Chamond Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Chamond Géolocalisation sur la carte du jour : Loire
Saint-Chamond Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Chamond | |
Liens | |
Site web | saint-chamond.fr |
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Saint-Chamond est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Deux éléments fondent la notoriété de la ville : une tradition industrielle avec les fabriques de lacets au Xix e siècle puis la Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt, devenue Creusot-Loire ; la politique avec une personnalité d'envergure nationale : Antoine Pinay qui dirige Saint-Chamond pendant près d'un demi-siècle et la French republic en 1952.
Capitale de la vallée du Gier, la ville évolue entre les pôles économiques et industriels de Lyon et de Saint-Étienne.
Comme d'autres villes du bassin houiller de la Loire, la district est confrontée à plusieurs défis : la sortie de l'industrie de masse, l'explosion urbaine (doublement de sa population entre les décennies 1960 et 1970) [1] , le renouvellement de son attractivité économique et résidentielle, enfin la préservation de son environnement (atout de la vaste zone rurale du Pilat et des côteaux du Jarez sur l'emprise foncière).
Saint-Chamond est en voie de tertiarisation mais sa population compte une importante function d'ouvriers qualifiés. Les retraités représentent 30 % des habitants.
Son avenir est déterminé par le renouvellement de sa vocation industrielle (avec son tissu de petites et moyennes entreprises), la réussite de sa capacité d'innovation (écoquartier de Novaciéries, retraitement des délaissés urbains), le maintien d'une offre commerciale locale, la mise en synergie de ses différents quartiers et territoires.
Géographie [modifier | modifier le code]
Localisation [modifier | modifier le code]
Saint-Chamond est située dans la vallée du Gier entre les monts du Lyonnais, au nord, et le massif du Pilat, au sud, entre Saint-Étienne à 12km [2] et Lyon à 49km [three] .
La vallée du Gier est une dépression géographique allongée sur 23km, selon un axe sud-ouest–nord-est, entre les contreforts du Massif du Pilat et les côteaux du Jarez.
Les communes avoisinantes sont : Saint-Étienne, Lorette, La One thousand-Croix, L'Horme, Cellieu, Saint-Jean-Bonnefonds.
Représentations cartographiques de la commune
Géologie et relief [modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de v 488ha ou 54,viiikmtwo [4] , soit à peu près united nations dix-millième de la French republic.
Son altitude varie de 326 à i 051mètres [4] .
Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.
Dans la région, plusieurs sites géographiques sont remarquables. Tels sont le crêt de la Perdrix, à one 434thousand, qui est le point culminant du massif du Pilat, le crêt de l'Œillon avec vue magnifique sur la vallée du Rhône et parfois sur le massif du Mont-Blanc, la pour du saut du Gier dans le parc naturel régional du Pilat.
Hydrographie [modifier | modifier le code]
La ville est traversée par le Gier, aujourd'hui majoritairement couvert, qui prend sa source dans le massif du Pilat puis descend la vallée du Gier avant de se jeter dans le Rhône à Givors sur une longueur totale de 44km.
Les barrages suivants sont répertoriés :
- barrage du Piney ;
- barrage de la Rive ;
- barrage de Soulage.
Climat [modifier | modifier le code]
Urbanisme [modifier | modifier le code]
Typologie [modifier | modifier le code]
Saint-Chamond est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee [Notation 1] , [5] , [6] , [7] . Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes [8] et 374 318 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue [9] , [10] .
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne [Note 2] . Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants [eleven] , [12] .
Occupation des sols [modifier | modifier le lawmaking]
L'occupation des sols de la district, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine State Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (28,1 %), forêts (25,vi %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), zones urbanisées (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,four %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentales [Annotation three] (0,two %) [13] .
L'IGN met par ailleurs à disposition united nations outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la district (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini ( Eighteen due east siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui) [Carte 1] .
Morphologie urbaine [modifier | modifier le lawmaking]
Le paysage de Saint-Chamond se découpe en plusieurs ensembles :
- les versants boisés parsemés de quelques habitations dispersées (recyclage d'anciennes implantations agricoles) ;
- les zones agricoles émaillées des fermes qui les cultivent ;
- des hameaux anciens revigorés par des constructions plus ou moins récentes ;
- 50'espace urbain fundamental du fond de vallée marqué par l'activité industrielle et le logement ouvrier, mais également par les résidences bourgeoises ;
- des espaces de mitage de la zone périurbaine et agricole anarchiquement agencés par des constructions dispersées (Chavanne, Izieux, la Chabure, la Ravacholière, 50'est de Saint-Martin-en-Coailleux).
Ces dynamiques d'occupation annihilent la stardom entre la ville et la campagne. 50'emprise foncière menace 50'image verte [xiv] .
Lieux-dits, hameaux et écarts [modifier | modifier le lawmaking]
Saint-Chamond est divisé en plusieurs quartiers. Historiquement, trois paroisses se partageaient la ville :
- Saint-Ennemond ;
- Saint-Pierre ;
- Notre-Matriarch.
Les autres secteurs sont nés du regroupement des quatre communes en 1964, favorisant des dynamiques urbaines de construction et d'aménagement. L'année 1970 voit ainsi l'élévation de la zone à urbaniser en priorité (ZUP) de Fonsala, le plus grand quartier de Saint-Chamond, sur un ancien domaine rural. La même année est créée la zone industrielle du Clos-Marquet (24 hectares) sur un autre espace rural dont la derrière mine est fermée dans les années 1950.
Certains territoires sont des divisions déjà existantes au sein des communes regroupées, comme la distinction du bourg de Saint-Martin-en-Coailleux et de la Valette qui relevait de cette ancienne commune.
- La Chabure
- Chavanne
- Clos-Marquet
- Le Creux
- Fonsala
- Izieux
- Lavieu
- Les Palermes
- Saint-Chamond middle
- Saint-Ennemond
- Saint-Julien-en-Jarez
- Saint-Martin-en-Coailleux
- Saint-Pierre
- La Valette
- La Varizelle
Logement [modifier | modifier le lawmaking]
Projets d'aménagement [modifier | modifier le code]
Fifty'ancien site manufacturier des Forges et aciéries de la Marine (1854), devenu la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (1954) puis Creusot-Loire (1970) ferme ses portes en 1985. Ainsi le quartier Novaciéries est l'objet d'united nations projet de développement et de requalification de la ville porté par la municipalité et obtient son classement comme quartier prioritaire par l'État.
Voies de advice et transports [modifier | modifier le code]
Autoroutes et routes nationales [modifier | modifier le lawmaking]
- Autoroute A47 : vers Lyon et Saint-Étienne.
Aéroport/Aérodrome [modifier | modifier le code]
- Aéroport de Saint-Étienne-Loire
- Aérodrome de Saint-Chamond - L'Horme
Gare ferroviaire [modifier | modifier le code]
- Gare de Saint-Chamond
Transports urbains [modifier | modifier le code]
La Communauté urbaine Saint-Étienne Métropole a la responsabilité des transports en commun de 45 communes. Saint-Chamond est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS). Elle est desservie par les lignes :
- M5 Square Violette (Saint-Étienne) - Place Chipier (Rive-de-Gier)
- 25 Gare de Saint-Chamond - Terrasse
- 29 Place du Moulin (Saint-Chamond) - Gare de Saint-Étienne-Châteaucreux
- 40 Piscine Couderc - C.C. La Maladière
- 41 Crêt de l'Œillet Haut - Place du Moulin
- 42 Identify du Moulin (Saint-Chamond) - Ollagnière - Maison Rouge (Saint-Jean-Bonnefonds)
- 43 Chavanne Bourg - Crêt de l'Œillet
- 44 Place du Moulin - La Bachasse (Saint-Paul-en-Jarez)
- 45 Place du Moulin - Saint-Martin-en-Coailleux
- 71 Pont Nantin - Portail Rouge
- 77 Bonzieux - Sainte-Marie
- 78 Stélytec - Gare de Saint-Chamond
- 79 Crêt de l'Œillet - La Fayette
- 81 Poste - Bourg Doizieux
- 102 Place du Moulin - Luzernod (La Valla-en-Gier)
Transports ferroviaires [modifier | modifier le code]
Des trains express régionaux (TER) assurent la liaison d'une part vers Lyon et d'autre part vers Saint-Étienne ou Firminy.
Risques naturels et technologiques [modifier | modifier le code]
Toponymie [modifier | modifier le code]
La ville de Saint-Chamond doit son nom à l'évêque de Lyon saint Ennemond [xv] :
– sancti Aunemundi (976) [xvi] ;
– Vuigonis de Sancto Annemundo ou Annemondo ou Ennemundo (1090) [17] ;
– Castellum Sancti Admundi (1167) ;
– Castella Sancti Aunemundi (1173) ;
– Parrochia Sancti Chalumundi (1247) ;
– Chastel de Saint Chamont (1344) [xviii] .
Histoire [modifier | modifier le code]
Préhistoire [modifier | modifier le code]
Antiquité [modifier | modifier le code]
Un poste de garde de fifty'un des cinq aqueducs qui alimentait Lugdunum (Lyon) aurait été situé près de l'ancienne église d'Izieux où de nombreux débris (tegula, imbrex) ont été mis au jour [19] .
L'aqueduc du Gier acheminait les eaux du Gier captées en amont de Saint-Chamond. Des parties aériennes de cet aqueduc sont encore visibles dans la région de Mornant et de Chaponost (Rhône). Des parties souterraines sont découvertes en 1993 dans Saint-Chamond lors de la construction de la ZAC de la Varizelle [20] , [Notation 4] .
Moyen Âge [modifier | modifier le code]
Capitale du Jarez, Saint-Chamond est une seigneurie très importante dans la région.
50'église Saint-André d'Izieux est mentionnée en 984 [Note 5] .
Le comte Guigues Ii de Forez fait enregistrer le château de Saint-Chamond lors de sa visite en 1167 au roi de France Louis VII qui le lui remet [Note 6] , la région est alors au middle du conflit opposant l'archevêque de Lyon au comte de Forez.
En 1173, lors de la permutatio entre le comte de Forez et 50'archevêque de Lyon, ce dernier garde Saint-Chamond sous son contrôle [Notation 7] . Elle forme, avec united nations ensemble d'autres cités voisines « laissées à la liberté » de l'Église de Lyon, la limite avec le comté de Forez. En 1278, les droits sur ces localités retournent apparemment au Forez [Note 8] sauf Saint-Chamond pour lequel les seigneurs de Jarez continuent à rendre hommage à l'archevêque de Lyon [25] .
En 1224, Guigues de Jarez accorde une charte de franchise aux habitants de Saint-Chamond [26] .
Parmi les seigneurs de Saint-Chamond se trouvent :
- Briand de Lavieu (ca 1150-1184) ;
- Gaudemar de Jarez (ca 1225-1290);
- Guichard d'Urgel de Saint Priest (-1403) ;
- Briand Durgel ;
- Jean d'Urgel de Saint Priest ;
- Léonnet d'Urgel de Saint Priest (-1491) ;
- Jacques Mitte de Chevrières (1586-1649) , seigneur de Chevrières et de Saint-Chamond, comte de Miolans, chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du Lyonnais et du Beaujolais.
Temps modernes [modifier | modifier le lawmaking]
Fifty'année 1628 est celle de la peste noire. Les chroniqueurs du temps appellent « contamination » ce m fléau.
Selon James Condamin, un religieux Capucin écrit que quatre moines de cet ordre, au service des souffrants, sont emportés par la maladie et que « la peste leur fist un si grand degast que, de compte fait, ils perdirent la moitié du peuple de leur ville [27] ». Pour préserver le reste de la population, les malades sont isolés et transportés dans des cabanes, au Fay, où ils reçoivent quelques soins et des aumônes [28] .
Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond, marque la ville de son empreinte. On peut d'ailleurs voir de nombreux bâtiments de cette époque tels que la Maison des Chanoines des XV eastward et Xvi e siècles (classée monument historique), fifty'Hôtel-Dieu (classé monument historique), fifty'église Saint-Pierre du XVII e siècle (classée monument historique), et le couvent des Minimes, construit entre 1622 et 1624, qui est aujourd'hui la mairie de Saint-Chamond. Toujours au XVII due east siècle, il construit un château — détruit par la suite comme celui de Richelieu [réf. nécessaire].
Révolution française et Empire [modifier | modifier le code]
En , avec la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux, Saint-Chamond plonge dans la Révolution.
À fifty'instar des villes dont le nom porte celui d'united nations saint, pendant la Révolution française, Saint-Chamond est dénommée Vallée-Rousseau du nom du fameux philosophe, venu herboriser dans le Pilat. Elle appartient au département de Rhône-et-Loire.
En 1792, le château et la collégiale sont pillés et en partie démolis par les habitants qui détruisent aussi par le feu les archives seigneuriales. Seuls un tronçon vertical de la collégiale, les écuries et la grand'grange — façon paysanne de décrire une grande grange, qui surmonte ces écuries — sont encore visibles aujourd'hui sur la colline de Saint-Ennemond.
En 1793, Lyon se révolte contre la Convention et entraîne Saint-Chamond dans fifty'coup. La défaite de l'armée lyonnaise conduit à l'évacuation de Saint-Chamond. La Convention envoie alors Javogues qui multiplie les arrêtés épuratoires ainsi que les exécutions sommaires et rançonne les habitants.
En 1796, les Saint-Chamonais expédient une colonne mobile contre les prêtres réfractaires et les déserteurs.
19 e siècle [modifier | modifier le code]
En 1848, Germain Morel, fils du maître de forges Antoine Morel à Saint-Chamond, s'associe avec MM. Pétin et Gaudet, maîtres de forge à Rive-de-Gier, pour créer à Saint-Chamond « Morel et Cie ». En 1854, la société devient la Compagnie des hauts-fourneaux, forges et aciéries de la Marine et des Chemins de fer, avec un nouvel associé, l'Anglais Jackson.
Vers 1850, les restes du château et de son domaine sont donnés aux frères des écoles chrétiennes par un descendant de Melchior Mitte de Chevrières, le marquis de Mondragon, à condition d'y dispenser l'éducation à la jeunesse saint-chamonaise [Note 9] .
La ville est desservie dès 1882 par les tramways à vapeur de la Compagnie des Chemins de fer à voie étroite (CFVE), qui la relient à Saint-Étienne.
À la fin du XIX due east siècle, Saint-Chamond devient la capitale mondiale de l'industrie du lacet. Cette activité, fondée par Charles-François Richard appelé aussi Richard-Chambovet [Note 10] , en 1807-1809, tranquility sur l'usage du métier à poupée — broches multiples animées d'une rotation continue qui permettent de tresser des lacets [29] .
Le lacet de corset ou le lacet de chaussure est très utilisé à l'époque : « C'est un objet de mercerie d'une assez grande consommation. Les femmes font usage de lacets de soie pour serrer leurs corsets, ou autres pièces de leurs vêtements. Les lacets de fils de lin, de chanvre, de coton, sont employés au même usage, mais on southward'en sert également, en place de ficelle, pour des ligatures [30] ».
Commencée avec trois métiers, la fabrique en compte plus de cent en 1812 et 1 200 travaillent dans toute la ville en 1838 à partir de plusieurs maisons créées à l'exemple de Richard-Chambovet : « La fabrique de Saint-Chamond fournit des lacets à la consommation intérieure et à l'exportation cascade Amsterdam, Bruxelles, Leipzig, Anvers, Milan, la Suisse et les deux Amériques [29] ».
Charles-François est secondé plus tard par son fils Ennemond Richard. En 1898, Antoine Reymondon et d'autres associés créent la société des Manufactures réunies qui regroupe dix des plus grands fabricants de lacets.
D'après Le Monde Illustré, du , l'industrie saint-chamonaise du lacet fabrique 75 % de la production nationale.
XX e siècle [modifier | modifier le lawmaking]
Aristide Briand (1862-1932), homme politique socialiste, alors partisan du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale, est élu député de la Loire le , dans une circonscription qui comprend une partie de Saint-Étienne et le canton de Saint-Chamond. Il le reste jusqu'en . Il succède à l'ancien maire de Saint-Chamond, Benoît Oriol, élu pendant les deux législatures précédentes.
Aristide Briand est surtout préoccupé de politique nationale et, lorsqu'il se rend à Saint-Chamond, ses discours ont une portée générale. Ainsi en 1909, il se défend de toute attaque contre le catholicisme tout en revendiquant le laïcisme [31] . De même en , il évoque son projet d'association capital-travail [32] .
À Saint-Chamond aujourd'hui, une salle de spectacle porte son nom.
Première Guerre mondiale [modifier | modifier le code]
Saint-Chamond participe de quatre façons aux efforts de guerre :
- la mobilisation de ses hommes : peut-être ii 300 hommes dont 451 soldats saint-chamonais morts pour la France ;
- la production industrielle, notamment des usines Chavanne-Brun (obus) et des Aciéries de la Marine (munitions, artillerie, char Saint-Chamond dont quatre cents unités sont fabriquées en 1917) ;
- réquisitions, ravitaillement, secours aux familles ;
- accueil hospitalier des soldats blessés ou convalescents dans l'École supérieure de jeunes filles (hôpital auxiliaire northwardo 10) et dans le collège Sainte-Marie (hôpital complémentaire due northo 94) [Notation xi] .
Les soldats saint-chamonais morts pour la France ne reposent pas tous dans le cimetière communal. Les victimes inhumées à Saint-Chamond se trouvent :
- soit autour du monument aux morts ;
- soit dans des sépultures individuelles, ou familiales le plus souvent.
Les autres sont enterrés dans diverses nécropoles aménagées dans les régions des champs de bataille.
En 1931, se produit la fermeture du tramway électrique de Saint-Chamond.
La Résistance à Saint-Chamond [modifier | modifier le lawmaking]
Les 1er et , le maréchal Pétain, chef de l'État français, se rend en visite à Saint-Chamond. «Le Nouvelliste de Lyon rapporte qu'aux Aciéries de la Marine de Saint-Chamond, dans le grand hall de fifty'usine tout le personnel rassemblé fait une ovation enthousiaste au Maréchal et entonne une vibrante Marseillaise. ».
Plusieurs Saint-Chamonais se sont illustrés dans les activités de résistance à l'occupant allemand. Un rôle très actif est assumé par la famille Cave dont quatre membres sont arrêtés par la Milice. Le , les membres de cette famille sont pris au no 8 de la rue Victor-Hugo cascade être emmenés en déportation. Claude Cave meurt à Neuengamme. Claudia Cave, son épouse, meurt à Ravensbrück ainsi que sa fille Marie, âgée de 21 ans. Seul Paul, âgé de xvi ans et dernier membre de la famille, déporté à Neuengamme, rentre vivant.
Marie Cave southward'est engagée dès 1940 dans la Résistance cascade distribuer des journaux clandestins. La maison familiale — c'étaient des commerçants — « devient un lieu de rendez-vous et d'asile pour la Résistance ». En 1942, elle diffuse le journal clandestin Défense de la France et en 1943 elle intègre le réseau Alibi [33] . Une plaque est apposée à 50'entrée de leur immeuble et un rond-indicate porte leur nom.
Le , aux Forges et aciéries de la Marine, a lieu united nations sabotage qui « retarde de plus d'un mois la mise en marche du laminoir à blindages [34] ». Une stèle commémorative est érigée dans la rue Pétin-Gaudet.
Après-guerre [modifier | modifier le code]
Dans les années 1950, les Forges et aciéries s'associent avec les Établissements Jacob Holtzer, fifty'Usine de la Loire, et les Aciéries et forges de Firminy. De ceci nait la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (CAFL) en 1954, tandis que la ville voit la fermeture de sa dernière mine au Clos-Marquet.
La « taille » des années 1950 : initialement fifty'abattage se fait au marteau piqueur et le charbon est évacué par de petits convoyeurs. Les mineurs, qui travaillent dans une ambiance poussiéreuse et dans un air ambiant à thirty°C, se relayent toutes les huit heures. Les années 1950 voient le développement de soutènements métalliques.
La ville de Saint-Chamond actuelle est le résultat de la fusion en 1964 des communes de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez, d'Izieux et de Saint-Chamond. La ville devient alors la troisième commune de la Loire, avec près de 40 000 habitants.
Ces années sont marquées par une spectaculaire régénération urbaine. Déjà en 1929, tout juste élu maire, Antoine Pinay fait établir un diagnostic de l'insalubrité des logements : 70 % de la ville sont à reconstruire [35] . La mise en place d'un office d'habitations à bon marché (HBM) permet la construction de nouvelles habitations rue Jean-et-André-Dugas et rue James-Condamin.
En 1964 et 1965, plusieurs îlots vétustes sont détruits dont celui du quartier de la Boucherie, sur trois hectares et demi, ainsi que les vieilles maisons du boulevard Waldeck-Rousseau ou de la rue du Janon. Le béton armé et les barres des habitations à loyer modéré (HLM) les remplacent. La cité de Fonsala sort de terre.
En 1970, la rénovation est en grande partie effectuée. Antoine Pinay promeut la modernisation de sa ville. Le , il accueille Albin Chalandon, alors ministre de l'Équipement.
50'élimination du vieux bâti cause, cependant, quelques dommages patrimoniaux. Sont ainsi démolies la chapelle des Ursulines, la chapelle des Pénitents encore visible en 1964 sur la place Notre-Dame mais détruite en 1965 et le couvent des Capucins rasé en 1972.
Historiens de Saint-Chamond [modifier | modifier le code]
De l'érudit local à 50'universitaire américain, la ville a suscité de nombreux travaux d'historiens : Ennemond Richard (1806-1873), Jean-Baptiste Boudet (1814-1887), Martin Presbitero (1837-1910), F. Raymond (?), Maurice de Boissieu (1844-1933), James Condamin (1844-1929), Gustave Lefebvre (1865-1937), Stéphane Bertholon (1862-1931), François Gonon (1863-1957), Mathieu Fournier (1868-1963), Michael P. Hanagan (né en 1947), Lucien Parizot (1920-2000), Elinor Accampo (née en 1949), Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme (?), Éric Perrin (né en 1965), Gérard Chaperon (né en 1922) [36] .
Politique et administration [modifier | modifier le lawmaking]
La commune de Saint-Chamond absorbe en 1964 celles d'Izieux, Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Martin-en-Coailleux [37] .
Rattachements administratifs et électoraux [modifier | modifier le lawmaking]
La commune se trouve dans 50'arrondissement de Saint-Étienne du département de la Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Loire.
La ville était le chef-lieu du canton de Saint-Chamond de 1793 à 1984, année où celui-ci est scindé entre les cantons de Saint-Chamond-Nord et de Saint-Chamond-Sud [37] . Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la district est toujours membre, est modifié, passant de 23 à seventy communes.
Intercommunalité [modifier | modifier le code]
Saint-Chamond est 50'une des 53 communes de Saint-Étienne Métropole.
Tendances politiques et résultats [modifier | modifier le code]
Liste des maires [modifier | modifier le code]
Politique environnementale [modifier | modifier le lawmaking]
Distinctions et labels [modifier | modifier le code]
En 2017, la commune de Saint-Chamond est récompensée par le label Ville Internet de quatre arobases [42] , résultat confirmé encore en 2019 [43] .
En 2019, Saint-Chamond bénéficie du characterization ville fleurie avec trois fleurs [44] attribué par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris [45] .
Jumelages [modifier | modifier le code]
Équipements et services publics [modifier | modifier le code]
Enseignement [modifier | modifier le code]
En 2017, la ville compte dix-huit écoles primaires publiques (classes maternelles et élémentaires) et half-dozen écoles primaires privées.
Trois collèges publics et un collège privé sont présents sur la commune [46] .
Lycées de la ville :
- lycée Claude-Lebois : lycée général, technologique et professionnel (public)
- lycée Sainte-Marie : lycée général (privé) ;
- la Grand'Grange : lycée professionnel (privé) ;
- lycée hôtelier Les Petites Bruyères : lycée professionnel (public) ;
- lycée professionnel St-Ennemond : lycée professionnel (privé) ;
- MFR de Saint-Chamond : lycée professionnel et classes préparatoires (privé) ;
- institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier du Pays du Gier : enseignement supérieur (public).
Santé [modifier | modifier le lawmaking]
Population et société [modifier | modifier le lawmaking]
Les habitants de la ville sont appelés les Couramiauds. Ce nom viendrait du fait que pendant la fête du feu de la Saint-Jean, les habitants de Saint-Chamond accrochaient une ficelle à la queue d'un chat [Passage contradictoire avec l'article Couramiaud] et les enfants couraient après celui-ci, d'où le nom de « cours-à miaou », soit Couramiauds [47] . D'autres les appellent Saint-Chamonais [48] .
Démographie [modifier | modifier le lawmaking]
Évolution démographique [modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Cascade les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'united nations échantillon d'adresses représentant viii % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont united nations recensement réel tous les cinq ans [49] , [Note 13]
En 2019, la district comptait 34 841 habitants [Note 14] , en diminution de i,32 % par rapport à 2013 (Loire : +i,18 %, France hors Mayotte : +two,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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v 416 | four 977 | five 800 | v 988 | vii 475 | nine 001 | 8 204 | viii 406 | 8 897 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
ten 472 | 11 626 | 12 652 | 12 585 | fourteen 420 | fourteen 149 | 14 383 | fourteen 963 | 14 463 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
15 469 | 14 430 | xiv 897 | 15 885 | 15 468 | 14 842 | 14 711 | fourteen 820 | xv 580 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
17 107 | 37 728 | twoscore 250 | 40 267 | 38 878 | 37 378 | 35 608 | 35 419 | 35 339 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
34 841 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Histogramme de 50'évolution démographique
En 1964 la commune de Saint-Chamond a fusionné avec trois communes voisines (Saint-Martin-en-Coailleux, Saint-Julien-en-Jarez et Izieux). Cela explique la brusque augmentation démographique apparente entre 1962 et 1968 : les données antérieures à 1964 concernent uniquement l'ancienne district de Saint-Chamond et les populations des communes historiques de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez et d'Izieux sont comptabilisées séparément.
- Par l'importance de sa population, Saint-Chamond est la 214e commune de France. C'est la deuxième commune du département de la Loire après Saint-Étienne.
- À titre de comparaison, sa taille est analogue aux communes de Sète (Hérault), de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), de Savigny-sur-Orge (Essonne) et de Saint-Martin-d'Hères (Isère).
Pyramide des âges [modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à xxx ans south'élève à 35,viii %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'changed, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,four % la même année, alors qu'il est de 28,iv % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait xvi 406 hommes pour 18 573 femmes, soit un taux de 53,one % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,65 %).
Les pyramides des âges de la district et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d'âge | Femmes |
---|---|---|
0,viii | ninety ou + | two,1 |
8,eight | 75-89 ans | 12,one |
15,eight | 60-74 ans | 17,0 |
xix,one | 45-59 ans | 19,2 |
16,8 | thirty-44 ans | 16,3 |
17,8 | 15-29 ans | 16,1 |
20,nine | 0-14 ans | 17,1 |
Hommes | Classe d'âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,2 |
seven,seven | 75-89 ans | x,nine |
17 | sixty-74 ans | 17,9 |
19,vi | 45-59 ans | 18,9 |
17,eight | 30-44 ans | sixteen,ix |
17,8 | 15-29 ans | 16,one |
19,3 | 0-14 ans | 17 |
Sports et loisirs [modifier | modifier le code]
La ville de Saint-Chamond est aujourd'hui reconnue [Quand ?], au niveau sportif, grâce à la présence du Saint-Chamond Handbasket (SCB) dans le Championnat de France de basket-ball en segmentation 2 (PRO B).
L'Entente Saint-Chamond Volley, fruit de la fusion, en 1986, de deux entités qui représentaient ce sport, a évolué durant dix-sept ans dans le Championnat de French republic masculin en division nationale 1. En 2010, le society accède en Championnat de France à la division excellence féminine (division 2 française). Par ailleurs, dans ce club orienté vers la compétition, la formation des jeunes a permis d'obtenir en 1994, united nations titre de champion de France dans la catégorie cadettes.
En gymnastique, Saint-Chamond est aussi bien classée au niveau régional, notamment avec les étoiles de la Valette et la Sentinelle de la Grande Grange, qui concourt au plus haut niveau national.
La piscine Roger Couderc, une des rares piscines à vagues de la région, forme de nombreux nageurs, ainsi qu'une équipe en natation synchronisée.
En handball, les seniors filles et garçons évoluent en Championnat de France de division nationale 3, 450 licenciés placent Saint-Chamond Handball pays du Gier au 7east rang national, vingt-deux équipes (onze féminines).
Manifestations culturelles et festivités [modifier | modifier le code]
Rhinojazz: évènement qui anime la ville de Saint-Chamond par de nombreux concerts durant le mois d'octobre. Ce rendez-vous culturel s'étend aujourd'hui dans une grande partie du sud du département de la Loire. De nombreux artistes y compris venant de 50'étranger, ont plaisir à venir s'y produire que cela soit sur de petites scènes de la commune de Feurs, de La Terrasse-en-Dorlay ou bien de Chateauneuf jusqu'à l'Opéra de Saint-Étienne [réf. nécessaire].
Depuis 1998 a lieu en juin La Rue des Artistes [53] , festival pluridisciplinaire avec trois soirs de concerts et des spectacles de rue.
Cultes [modifier | modifier le code]
Fifty'imam de la mosquée de St-Chamond, Mmadi Ahamada, est destitué et expulsé aux Comores par le ministre Darmanin à la suite d'un prêche dans lequel il a lu un verset du Coran analysé comme contraire à l'égalité hommes-femmes [54] .
Économie [modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité [modifier | modifier le code]
Emploi [modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces [modifier | modifier le code]
Dès le XVI eastward siècle, Saint-Chamond connaît les manifestations d'une proto-industrialisation à partir de plusieurs activités :
- le moulinage de la soie ;
- la passementerie et le ruban ;
- les fonderies de fer et la fabrication des clous.
50'histoire de la district est très fortement liée à l'eau (aqueduc romain, métallurgie, textile, teinturerie…). Jules Duclos, maire de Saint-Chamond sous Napoléon III, fait construire le premier barrage de Saint-Chamond, dénommé barrage de la Rive. Deux autres barrages sont ensuite réalisés, celui du Piney, et celui de Soulage. Aujourd'hui, seuls ceux de la Rive et de Soulage sont encore en eaux.
Au début du Xx e siècle, et comme beaucoup de villes de la région, l'économie de la ville est tournée vers fifty'extraction de la houille, la métallurgie, le textile et le cuir (teinturerie, tissage, lacets…). En traversant Saint-Chamond, on peut remarquer seulement deux cheminées conservées de 50'époque des hauts-fourneaux. Dont fifty'une avec ses 103thousand de haut qui sert de repère géodésique.
Jusqu'aux années 1970-1980, l'économie de la ville est en grande partie fondée sur la métallurgie représentée par une seule entreprise. Il s'agit de la Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt (FAMH) dont le nom change régulièrement, de la Compagnie des aciéries et forges de la Loire puis de Creusot-Loire.
Cette industrie engendre certains spécimens fort célèbres, dont le char Saint-Chamond (fabriqué par la FAMH) qui est united nations des premiers chars blindés français, le véhicule de 50'avant blindé (VAB) qui équipe 50'Armée et la Gendarmerie, le Nautile sous-marin civil de 50'institut français de recherche pour 50'exploitation de la mer (IFREMER) qui permet de visiter 97 % du fond des mers,etc.
Aujourd'hui, et à la suite de la crise, l'économie de Saint-Chamond s'est développée autour de pôles d'activités très variés (industrie textile, métallurgie, ingénierie, plasturgie, câblerie, électrochimie, industrie agroalimentaire).
Saint-Chamond compte sept sites constituant des pôles d'activités industrielles, technologiques, tertiaires, commerciales et de service :
- le parc d'activités STELYTEC ;
- la zone d'activité (ZAC) de la Varizelle ;
- fifty'aire des pays du Gier ;
- la zone industrielle (ZI) du Coin ;
- la ZI du Clos-Marquet ;
- la ZI Pré-Château ;
- le heart d'activités artisanales et industrielles (CAAI).
Saint-Chamond compte sept cents entreprises.
Industrie [modifier | modifier le code]
- l'usine Linamar (ex-Linamar Faber, aujourd'hui LSC Linamar Sain-Chamond), composants automobiles [55] .
Culture locale et patrimoine [modifier | modifier le code]
Édifices disparus [modifier | modifier le code]
- Collégiale Saint-Jean-Baptiste de Saint-Chamond
- Le champ de tir de Langonand [56] , [57] qui appartenait à la compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt.
-
Couvent des Capucins. 1601 démolie en 1972.
-
Collégiale. 1635-1642.
-
Château des seigneurs. Gravure 1644.
-
Notre-Dame. XVII due east siècle, démolie en 1875.
-
Chapelle des Pénitents. 1640 démolie en 1965. 1956.
-
Halle-théâtre. 1835, démolie en 1931.
Lieux, édifices et monuments actuels [modifier | modifier le code]
Monuments historiques [modifier | modifier le code]
- Maison des Chanoines ( XV due east et Xvi due east siècles)
- Église Saint-Pierre ( XVII e siècle)
- L'ancien Hôtel-Dieu (1670) et sa chapelle (1674) [Annotation 15]
- La façade ancienne de la mairie
- Les orgues de Claude-Ignace Callinet — dans l'église Saint-Pierre — ( XIX eastward siècle)
- Les façades et toitures de l'usine Gillet-Thaon — ancienne teinturerie — ( Nineteen e siècle)
- L'hôtel Dugas de la Boissonny (fin 18 e siècle)
Édifices religieux [modifier | modifier le code]
- Église Saint-Pierre de Saint-Chamond
- Fifty'église Notre-Dame (construite en 1881)
- Église Saint-André d'Izieux
- Église Saint-Ennemond de Saint-Chamond
- Église Saint-Joseph de Chavanne
- Église Saint-Julien de Saint-Chamond
- Église Notre-Matriarch-de-Lourdes de Saint-Chamond
- Église Saint-Jean-Marie-Vianney de la Chabure
- Église Saint-Marcellin Champagnat de Fonsala
- Église Saint-Martin de Saint-Martin-en-Coailleux
- Notre-Matriarch-de-fifty'Hermitage
- Le temple protestant (route du Coin) (construit en 1962)
Patrimoine urbain et architectural [modifier | modifier le code]
- Colline de Saint-Ennemond ( XV e siècle)
- Décombres des écuries du château détruit de Saint-Chamond ( XV e siècle)
- Le couvent des Minimes — aujourd'hui mairie de Saint-Chamond, dernièrement rénové — (1622-1624) [58]
- Collège Sainte-Marie — lieu d'inspiration de Gabriel Chevallier, auteur de Clochemerle dans son livre Sainte-Colline — (1877)
- Château du Jarez — rue Victor-Hugo — ( XIX e siècle)
- Maisons bourgeoises — rue Victor-Hugo northwardo 18 puis thirty, 32, 34, 36, forty et 42 — ( XIX e siècle et début XX e siècle)
- Maison bourgeoise — rue Victor-Hugo no 58 — (façade d'inspiration Art nouveau)
- Hôtel de la Caisse d'épargne — rue Victor-Hugo northwardo 16 — (1901, architecte : Picaud)
- La maison des artistes — ancienne école primaire supérieure de filles — (1909)
- Rue de la République : nombreux commerces dans le eye-ville sur une rue piétonne
- Salle des congrès (Aristide-Briand).
Patrimoine industriel [modifier | modifier le code]
- La cheminée de Giat industrie haute de 103 mètres ( XIX e siècle)
Monuments [modifier | modifier le code]
- Statue de la République — place La-Valette — (1889)
- Monument Sadi-Carnot — dans le Jardin des plantes — (1895)
- Monument aux morts pour la France — dans le cimetière — (inauguré le )
- Monument aux morts pour la France — devant fifty'école Lamartine
Jardin public [modifier | modifier le code]
- Jardin des plantes ou Jardin Nelson-Mandela
Sites naturels [modifier | modifier le code]
- Paraqueue : vue imprenable sur tout Saint-Chamond
- Hauteurs de Chavanne : vue sur tout Saint-Chamond, ainsi qu'une partie de Rive-de-Gier et Saint-Étienne
- Hauteurs de la Chabure : panorama de la Vallée du Gier
Patrimoine culturel [modifier | modifier le lawmaking]
Personnalités liées à la district [modifier | modifier le code]
Personnages historiques [modifier | modifier le code]
- Jacques Mitte de Chevrières (1549-1610) , seigneur de Saint-Chamond, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du Lyonnais et du Beaujolais. Il était l'époux de Gabrielle d'Urgel de Saint-Chamond (1547-1596), fille de Christophe d'Urgel de Saint-Chamond (+ 1580) et de Louise d'Ancézune, unique héritière de la seigneurie de Saint-Chamond.
- Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649), [fils du précédent], lieutenant général des armées du Roi et ministre d'État sous Louis XIII et Louis XIV
- Antoine Flachat (1725-1803), né et mort à Saint-Chamond, curé de la paroisse Notre-Dame, prédicateur du roi de Pologne ; élu député du clergé aux États généraux, le , pour la sénéchaussée de Lyon
Industriels [modifier | modifier le code]
- Famille Guerin, aux XVII e et 18 e siècles, marchands fabricants de soie, banquiers, maire.
- Charles François Richard, né en 1772 ; fondateur de l'industrie des lacets ; maire d'Izieux en 1830 ; décoration du Lys ; chevalier de l'ordre imperial de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1851
- Ennemond Richard, né en 1806 à Saint-Chamond, fils du précédent, vice-président de la Chambre de commerce de Saint-Étienne, chevalier de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1873
- Roger Zannier (1945), patron du groupe Zannier, a lancé son entreprise à Saint-Chamond
Hommes politiques [modifier | modifier le code]
- Jacques Badet (1943- ), homme politique, maire (1977-1989) et député de Saint-Chamond.
- Marius Chavanne (1817-1886), homme politique, maire de Saint-Chamond.
- François Delay (1855-1936), industriel, sénateur, maire de Saint-Chamond où il est mort.
- Henry Jaboulay (Izieux 1897 - Johannesburg 1977), résistant, co-organisateur du Défilé du eleven novembre 1943 à Oyonnax, Compagnon de la Libération [59]
- Adrien de Montgolfier-Verpilleux (1831-1913), ingénieur des ponts et chaussées, homme politique, mort au château du jarez à Saint-Chamond.
- Charles Neyrand (1839-1907), conseiller général et député de la Loire, maire de l'ancienne commune de Saint-Julien-en-Jarez où il est né.
- Benoît Oriol (1840-1926), maire de Saint-Chamond et député de la Loire, officier de la Légion d'honneur, né à Saint-Chamond et mort dans l'ancienne district de Saint-Julien-en-Jarez.
- Antoine Pinay (1891-1994), homme politique, maire de Saint-Chamond de 1929 à 1944 et de 1947 à 1977.
- François Rochebloine, homme politique, né en 1945 à Saint-Chamond.
Militants politiques [modifier | modifier le code]
- Ravachol (1859-1892), militant anarchiste, né à Saint-Chamond, guillotiné à Montbrison
- Louis Follet (1898-1957), syndicaliste et militant communiste, mort dans l'ancienne district d'Izieux.
Policiers [modifier | modifier le code]
- Edmond Locard (1877-1966), fondateur de la police scientifique, né à Saint-Chamond
Religieux [modifier | modifier le code]
- Jean-Claude Courveille (1787-1866), fondateur de Notre-Dame de l'Hermitage
- Marcellin Champagnat (1789-1840), homme d'Église et pédagogue, mort à Saint-Chamond
- François Rivat (1808-1881) 1er supérieur général des frères maristes reconnu vénérable par l'Église catholique, mort à Saint-Chamond.
- James Condamin (1844-1929), chanoine, professeur à la Faculté catholique de Lyon, historien de Saint-Chamond
- Alexandre Poncet (1884-1973), vicaire apostolique à Wallis-et-Futuna, a précédé Michel Darmancier.
- Michel Darmancier (1918-1984), premier évêque de Wallis-et-Futuna
Écrivains [modifier | modifier le code]
- Lionel Bourg (1949-), écrivain
- Gabriel Chevallier (1895-1969), écrivain ayant fréquenté en 1912 le collège Sainte-Marie ce qui a inspiré à l'auteur de Clochemerle son livre Sainte-Colline
- Laurent Deloire (1966-), caricaturiste et dessinateur de presse
- Lucien Rebatet (1903-1972), écrivain ayant fréquenté le collège Sainte-Marie
Savants [modifier | modifier le code]
- Jean-Baptiste Dugas-Montbel (1776-1834), helléniste et homme politique, né à Saint-Chamond
Instituteurs, professeurs, directeurs d'école [modifier | modifier le code]
- Claude Lebois y a enseigné ;
- Mathieu Fournier y a enseigné et y est mort.
Artistes [modifier | modifier le code]
- Antoine Mariotte (1875-1944), compositeur mort dans l'ancienne commune d'Izieux
- Roger Planchon (1931-2009), dramaturge, metteur en scène et cinéaste, né à Saint-Chamond
- Pierre Koulak (1942-), auteur, acteur et metteur en scène
- Étienne Bossut (1946-), artiste contemporain
- Dominique Hulin,né en 1949 à Saint-Chamond, est un acteur et cascadeur français
- Djamel Tatah (1959-), artiste contemporain français
- Danger (1984-), de son vrai nom Franck Rivoire, DJ et producteur de musique électronique
Sportifs [modifier | modifier le lawmaking]
- Samuel Allegro (1978-), footballeur né à Saint-Chamond.
- Dominique Aulanier (1973-2020), footballeur né à Saint Chamond.
- Magali Baton (1971-), judokate française née à Saint-Chambond.
- Julie Coulaud (1982-), athlète française, spécialiste du steeple.
- André Giriat (1905-1967), rameur, mort à Saint-Chamond.
- Pierre Haon (1966-), footballeur professionnel, né à Saint-Chamond.
- Sébastien Pérez (1973-), ancien footballeur, né à Saint-Chamond.
- Alain Prost (1955-), quatre fois champion du monde de Formule 1, a passé son enfance et son adolescence à Saint-Chamond.
- Laurent Redon (1973-), pilote car, né à Saint-Chamond.
- Youcef Zenaf (1957-), sportif, champion du monde de full-contact de 1984 à 1986.
Héraldique, logotype et devise [modifier | modifier le code]
| Parti, le 1er d'argent à la fasce de gueules ; le iie d'azur plein [60] . |
---|
Voir aussi [modifier | modifier le code]
Bibliographie [modifier | modifier le lawmaking]
- Ennemond Richard, Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Janin, (réimpr. 1986, par Les Amis du Vieux Saint-Chamond) (1re éd. 1846-1858), 2 vol. in-8 ° (BNF36397199) .
- Ennemond Richard, Fontaines publiques de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Impr. de Théolier aîné, , 14p., in 8° (BNF31210397) .
- Gustave Lefebvre (recueillis et publiés par), Souvenirs de cent ans : 1789-1889 : Saint-Chamond et Rive-de-Gier : notes et documents, Paris, Éditions Picard, , 57p., in 8 (OCLC422178936) .
- James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, south.l., Les Amis de Saint-Chamond, (réimpr. 1996) (1re éd. 1890), XXII-748p., 23 cm (OCLC25985998) .
- Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond : notes et souvenirs d'un vieux Couramiaud, Saint-Étienne, south.north. (impr. Théolier), (réimpr. 1989), 1re éd. (1re éd. 1927), Fourteen-304p., 21 cm
- François Gonon, Notre vieux Saint-Chamond : notes historiques . La paroisse Notre-Matriarch et son histoire : documents d'archives, s.l., Amis du vieux Saint-Chamond, (ire éd. 1944), 118p., 24 cm (OCLC37877197) .
- Mathieu Fournier (pseudonyme : Jean Châtelus [61] ), Tableaux de la vie saint-chamonaise, Saint-Chamond, south.due north. (libr. A. Bordron), , 147p., in-16 (OCLC369882770) .
- Lucien Parizot, La Révolution à l'œil nu : 50'exemple du Lyonnais vécu a Saint-Chamond et en Jarez, southward.l., Val Jaris, coll. « Bicentenaire de la Révolution », , 343p., 24 cm (OCLC159895357) .
- Yard. Pupier (responsable) et Georges Delorme (responsable), Sur les ruines du château… « des fleurs ont poussé ». Saint Ennemond. La Grand'Grange (additif au no 94 de l' Écho de la Grand'Grange), Saint-Chamond, La Thou'Grange, , 371p., 22 cm (OCLC84424216) .
- (en) Elinor Ann Accampo, Industrialization, family life, and class relations : Saint Chamond, 1815-1914 [« Industrialisation, vie de famille et relations de classes : Saint-Chamond, 1815-1914 »] (Publication gouvernementale provinciale, Ressource Cyberspace), Berkeley, California Digital Library et University of California Press, coll. « UC Press E-Books Collection, 1982-2004 », , XVII- 301p., 24 cm (ISBN978-0-520-06095-one et 0-5200-6095-iv, lire en ligne) .
- Eric Perrin, Saint-Chamond, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 127p., 24 cm (ISBN2-84253-763-seven et 978-ii-8425-3763-0) .
- Gérard Chaperon, Saint-Chamond au fil du temps, Saint-Étienne, Actes graphiques, , 411p., 30 cm (ISBN978-2-910868-86-4 et 2-9108-6886-nine) .
- Catherine Coquidé et Ghislaine Macabéo, «Les aqueducs antiques de Lyon : l'apport de l'archéologie préventive (1991-2007) », Revue archéologique de 50'Est, Dijon, Revue archéologique de l'Est, vol. 59, northo 2, , p. 447-504 (ISSN1760-7264 et 1266-7706, lire en ligne) .
Liens externes [modifier | modifier le lawmaking]
- Ressources relatives à la géographie :
- Insee (communes)
- Ldh/EHESS/Cassini
- Site de la mairie
- [vidéo] Vidéos du parc du Pilat : Maison des tresses et lacets. La Terrasse-sur-Dorlay, de Parc naturel régional du Pilat, Vimeo, 2013, 5min 15s [voir en ligne] : Tressage de lacets par des métiers de Perrault améliorés par Charles-François Richard.
Notes et références [modifier | modifier le code]
Notes et cartes [modifier | modifier le code]
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en awarding de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces bug d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- L'étude de l'aqueduc est notamment menée en 2010 [21] .
- Jean-Edmé Dufour rappelle dans un ouvrage que l'on trouve à Izieux : «Ecclesia Sancti Andreæ de Usiaco, variante de Visiaco, 984 (Cart. Lyonnais, t. I, p. 19) [22] . ».
- «In nomine sanctae et individuae Trinitatis, amen. Ego, Ludovicus, Dei gratia Francorum king [23] […] » (Au nom de la sainte et indivisible Trinité, amen. Moi, Louis, par la grâce de Dieu, roi des Francs […]).
- « Pareillement Changy avec son mandement, et les deux forts de Saint-Ennemond avec ses mandements, sont dans les frontières de l'Église, sauf la route du Comte de la Croix du Mont-Violay jusqu'à Feurs. […] Pour ce que le Comte a donné à Brian dans le château de Saint-Ennemond et dans la plaine et le mandement, Brian le tiendra de fifty'Église et lui en rendra hommage et fidélité lige. ». Bulle du Pape Alexandre Three confirmant la permutation de 1173-1174 [24] .
- L'Église de Lyon se réserve en outre, dans les terres de Guy Ii, une enclave qui comprend Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars. Mais ces paroisses sont assez vite restituées au Forez. En 1278, cela est accompli [25] .
- Le lieu a donné son nom à ce qui est devenu le Lycée professionnel la Grand'Grange, qui depuis 2004 a fusionné avec fifty'Institution Sainte-Marie Fénelon pour donner fifty'actuelle Institution Sainte-Marie la Grand'Grange.
- Chambovet est le nom de son épouse.
- Sur des cartes postales anciennes, on peut trouver l'appellation « hôpital auxiliaire », mais c'est une erreur ; il s'agit d'un hôpital complémentaire (HC).
- https://republicains.fr/2019/11/06/committee-nationale-dinvestiture-du-6-novembre/
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n'afficher dans le tableau des recensements et le graphique, cascade les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. cascade les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par fifty'Insee cascade l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au aneer janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au ier janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Ces deux constructions sont dues à Jean-Armand Mitte de Chevrières (1614-1685), deuxième fils de Melchior Mitte de Chevrières, devenu marquis de Saint-Chamond à la mort de son frère aîné, Only-Henry-Melchior Mitte de Chevrières (ca 1615-1664).
- Cartes
- IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ) . Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références [modifier | modifier le code]
- Due à la fusion des quatre communes en 1964 : Saint-Chamond, Izieux, Saint-Julien-en-Jarez, Saint-Martin-en-Coailleux.
- © les contributeurs d'OpenStreetMap, «Distance par la road entre SaintChamond et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ) .
- © les contributeurs d'OpenStreetMap, «Distance par la route entre Saint-Chamond et Lyon Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ) .
- Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
- «Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ) .
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- (BNF12160172).
Articles connexes [modifier | modifier le code]
- Liste des communes de la Loire
- Jarez
- Lycée Claude-Lebois
- Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt
- James Condamin
- Claude Lebois
- Mathieu Fournier
- Pierre Joannon
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Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Chamond
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